Planète Vélo

Malika cinq ans,sa maman est kenyane et son papa comoriens.On était copains tout les deux pendant les cinq jours de l'épique traversée Dar-Es-Salam-Moroni.

Aux Comores la grande majorité de la population est pauvre et vit avec un euro par jour mais la misère est éradiquée par la fraternité et la solidarité des iliens entre eux.

Cette jeune comorienne tient une fleur d'ylang-ylang dans sa main droite et nous montre sa main gauche tatouée au henné.

Retour de la rivière les bassines pleines de linges propres. Les deux à gauche sur la photo m'ont aperçu et se cachent les visages. Les musulmans pensent qu'il ne faut jamais diffuser leurs images physiques.

Plage de galets,route etroite defoncée... Les îles comoriennes sont encore trop peu développées. Mais le véritable problème est que les comoriens ne prennent pas assez soin de leurs terres et respectent trop peu leur cadre de vie et leur environnement.